Quel est le taux de chômage au Royaume-Uni en 2023?

Le chômage est un indicateur économique essentiel qui reflète la santé du marché du travail d’une nation. Et, par extension, il affecte le bien-être de ses citoyens. Pour cela, étant l’une des principales économies mondiales, ce pays surveille et communique en permanence le taux de chômage au Royaume-Uni. Ceci s’avère nécessaire afin d’évaluer les performances de sa main-d’œuvre et l’état général de son économie.

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Cet article fournit une vue d’ensemble du taux de chômage au Royaume-Uni actuel. Nous mettons en lumière les facteurs qui l’influencent, les tendances historiques, les disparités régionales, les politiques gouvernementales et les futures projections. Jusqu’à l’année 2023, le marché du travail britannique traverse une période charnière marquée par divers facteurs socio-économiques. Ainsi, il est essentiel pour décideurs politiques, entreprises et grand public de comprendre la dynamique de son de chômage.

Dans les sections suivantes, nous nous pencherons sur les nuances du taux de chômage au Royaume-Uni. De plus, nous explorons non seulement les chiffres, mais aussi les implications les plus larges pour les individus et la société dans son ensemble. Pour commencer, examinons la situation actuelle du chômage au Royaume-Uni. Ceci en soulignant les évolutions récentes et les statistiques qui donnent un aperçu du marché du travail du pays.

Le taux de chômage au Royaume-Uni

Vue d’ensemble du taux de chômage au Royaume-Uni

En 2009, la zone euro et l’ensemble de l’Union européenne étaient tous aux prises avec une récession. Cette dernière risquait de devenir la plus grave et la plus longue depuis la Grande Dépression. Nous nous attendions à ce que la croissance économique négative au RU persiste pendant encore plusieurs trimestres au moins. La durée de cette récession dépendait de l’efficacité de diverses mesures fiscales et monétaires. Tout cela y compris une réduction substantielle de 400 points de base des taux d’intérêt. Celle-ci avait été récemment mise en œuvre.

Jusqu’en 2008, le marché du travail britannique avait affiché des performances robustes pour de multiples indicateurs. Notamment, c’est la croissance de l’emploi et de la diminution du taux de chômage au Royaume-Uni. De janvier 2000 à avril 2008, le nombre d’emplois a augmenté de près de deux millions. Il passe de 27 310 000 à 29 541 000 opportunités saisies. Au cours de la même période, le taux d’emploi par rapport à la population (EPOP) est passé de 59,3% à 69,3%. Les niveaux de chômage sont restés relativement stables. Bien que le taux de chômage au Royaume-Uni ait diminué de 5,8% à 5,2% en raison de l’augmentation de la main-d’œuvre.

Malgré ces tendances positives, il est essentiel de reconnaître certains domaines de préoccupation. Le taux de chômage au Royaume-Uni des jeunes, en particulier des 18-24 ans, est passé de 12,7% en 2000 à 14,5% en 2008. Ce qui contraste avec sa baisse dans le reste de l’OCDE. Toutefois, il est essentiel d’examiner cette situation dans son contexte. Même avant le début de la récession au début de 2008, le taux de chômage au Royaume-Uni de 5,1% était encore plus élevé que celui de plusieurs autres pays tels que l’Autriche, le Danemark, l’Irlande, le Japon, les Pays-Bas, etc.

Comparaison avec les taux de chômage dans d’autres pays de l’Union européenne

Par rapport à de nombreux autres pays de l’Union européenne et de l’OCDE, le Royaume-Uni a obtenu de bons résultats en termes d’indicateurs du marché du travail. Le marché du travail britannique a été décrit comme une « réussite européenne » par Pissarides en 2006.

Examinons les taux de chômage de dix pays, de 1960 à 2007. L’Australie, le Canada, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Japon, les Pays-Bas, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis. Plusieurs observations peuvent être faites à partir de ces données :

  • Avant 1980, le Royaume-Uni affichait des taux de chômage inférieurs à ceux des États-Unis. Mais cette tendance s’est inversée entre 1980 et 2000. Les raisons de ce changement ne sont pas claires.
  • Les taux de chômage du Royaume-Uni sont très proches de ceux de l’Australie et du Canada.
  • En règle générale, les taux britanniques sont plus élevés que ceux du Japon, de la Suède et des Pays-Bas. Depuis 2002, les taux suédois dépassent ceux du Royaume-Uni.
  • Depuis le début des années 1990, les taux de chômage du Royaume-Uni sont inférieurs à ceux de la France, de l’Allemagne et de l’Italie. Alors que le Royaume-Uni affichait auparavant des taux plus élevés.

Depuis avril 2008

Les conditions du marché du travail britannique se sont considérablement détériorées à tous points de vue. Le chômage a augmenté de 300 000 personnes entre avril et novembre 2008. Par ailleurs, le taux de chômage est passé de 5,2% à 6,1%. Les perspectives du marché du travail britannique semblaient sombres.

Au cours de l’année écoulée, les marchés du travail de plusieurs autres pays se sont également relâchés de manière significative, en particulier en Irlande, en Espagne, en Suède et aux États-Unis. L’augmentation substantielle du taux de chômage entre décembre 2007 et octobre ou novembre 2008 l’en témoigne. La crise du taux de chômage au Royaume-Uni a reflété des tendances similaires dans diverses nations industrialisées du monde entier.

Taux de chômage au Royaume-Uni actuel

Le taux d’emploi au Royaume-Uni : période mai – juillet/ août 2023

Le taux d’emploi au Royaume-Uni s’établit à 75,5% pour la période de mai à juillet 2023. Elle reflète une baisse de 0,5 point de pourcentage par rapport à la période précédente de février à avril 2023. Cette réduction de l’emploi est principalement attribuée à une diminution du nombre de travailleurs indépendants à temps plein.

En ce qui concerne les salariés, l’estimation pour août 2023 reste relativement stable. Seulement une baisse marginale de 1 000, pour un total de 30,1 millions. Notons que cette estimation pour août 2023 est provisoire. Elle devrait aussi faire l’objet d’une révision lorsque des données supplémentaires seront disponibles le mois prochain.

Le chômage

Le taux de chômage au Royaume-Uni : période mai- juillet 2023

Le taux de chômage au Royaume-Uni pour la période de mai à juillet 2023 a augmenté de 0,5 point de pourcentage par rapport au trimestre précédent, atteignant 4,3%. Cette hausse du chômage est principalement due aux personnes sans emploi depuis au moins12 mois.

L’inactivité économique a également connu une légère hausse, avec une augmentation de 0,1 point de pourcentage au cours du trimestre, atteignant 21,1% de mai à juillet 2023. La hausse de l’inactivité économique au cours de ce trimestre a été particulièrement marquée chez les personnes âgées de 16 à 24 ans. Notamment, le nombre de personnes inactives en raison d’une maladie de longue durée a atteint un niveau record. Tandis que le nombre de personnes inactives en raison de responsabilités familiales ou domestiques a atteint un niveau record.

Le taux de chômage au Royaume-Uni : période juin- août 2023

Entre juin et août 2023, le nombre estimé d’offres d’emploi a diminué de 64 000 sur une base trimestrielle. Il atteint 989 000 offres. Il s’agit de la quatorzième baisse trimestrielle consécutive.

En ce qui concerne la croissance des salaires, la croissance annuelle du salaire régulier (hors primes) a atteint 7,8% entre mai et juillet 2023. Ce qui correspond aux trois mois précédents et représente le taux de croissance annuel régulier le plus élevé depuis le début des relevés en 2001. En outre, la croissance annuelle de la rémunération totale moyenne des employés (y compris les primes) s’est élevée à 8,5%. Ce chiffre étant influencé par les paiements uniques effectués en juin et juillet 2023 au sein du NHS et de la fonction publique. En termes réels, en tenant compte de l’inflation sur la base de l’indice des prix à la consommation. Ceci y comprit les coûts de logement des propriétaires occupants (CPIH), le salaire total a enregistré une croissance de 1,2% en glissement annuel, et le salaire régulier a connu une hausse de 0,6%.

Enfin, en juillet 2023, les conflits du travail ont entraîné la perte de 281 000 jours de travail. Outre cela, la majorité des grèves a eu lieu dans les secteurs de l’éducation, de la santé et de l’action sociale.

Facteurs affectant le taux de chômage au Royaume-Uni

En 2021, le taux de chômage au Royaume-Uni variait considérablement en fonction de l’appartenance ethnique. Les données révèlent que le taux de chômage global était de 4%, soit un peu moins de 1,5 million de personnes. Notamment, le groupe ethnique combiné des Bangladais et des Pakistanais présentait le taux de chômage le plus élevé (11%). Tandis que les Blancs et les membres du groupe ethnique indien affichaient les taux les plus bas (4%). L’examen des tendances dans le temps (2004 à 2021) montre que les taux de chômage ont généralement diminué dans la plupart des groupes ethniques. En plus, la baisse la plus importante est observée chez les Noirs (plus de 3% de moins en 2021 qu’en 2004).

Les données indiquent des variations des taux de chômage en fonction du sexe. En effet, certains groupes ethniques affichent des taux plus élevés chez les femmes. Les Blancs étaient moins susceptibles d’être au chômage que tous les autres groupes ethniques réunis, tant chez les hommes que chez les femmes. De même, les données montrent des variations des taux de chômage en fonction de l’âge. En fait, les jeunes de 16 à 24 ans sont plus susceptibles d’être au chômage que les autres groupes d’âge. Dans cette tranche d’âge, les Blancs affichaient le taux de chômage le plus bas, avec un écart significatif par rapport à tous les autres groupes ethniques confondus.

Enfin, les données illustrent les disparités régionales. D’où, les Blancs postent généralement des taux de chômage inférieurs à ceux de tous les autres groupes ethniques confondus. Nous parlons en particulier dans des régions telles que les West Midlands, le Yorkshire et le Humber, et le Pays de Galles. Ces régions affichent les écarts de taux de chômage les plus importants, supérieurs à 6%.

Le taux de chômage au Royaume-Uni: Un chômeur

Conséquences du taux de chômage au Royaume-Uni

Conséquences du chômage sur l’économie

Le taux de chômage au Royaume-Uni a plusieurs conséquences notables. Tout d’abord, il accroît l’incertitude au sein de l’économie. Car, les gens doutent de la sécurité de leur emploi et de la stabilité économique. Cette incertitude affecte à son tour leurs décisions économiques quotidiennes. Par suite, lorsque les individus craignent de perdre leur emploi, ils ont tendance à réduire leur consommation. Dans une économie stable, la sécurité de l’emploi donne l’assurance de pouvoir conserver son emploi ou d’en trouver un autre en cas de licenciement. Toutefois, en période d’instabilité économique, les possibilités d’emploi se raréfient. Le fait que les gens réduisent leurs dépenses entraîne une baisse de la demande de biens et de services. Ce qui exacerbe le problème du chômage.

Un autre impact important du chômage sur l’économie est l’écart de PIB. Cet écart représente la différence entre le PIB réel et le PIB potentiel. C’est le niveau réalisable lorsque toutes les ressources sont utilisées efficacement. L’écart de PIB s’apparente à un coût d’opportunité puisqu’il augmente lorsque les ressources sont sous-utilisées en raison du chômage. Ce qui met en évidence les inefficacités économiques qui résultent du chômage.

Conséquences du chômage sur le gouvernement

Le taux de chômage au Royaume-Uni a des conséquences importantes pour le gouvernement et les hommes politiques. Tout d’abord, il accroît l’incertitude et l’instabilité au sein même du gouvernement. Face à une économie volatile marquée par des taux de chômage élevés, le gouvernement doit réévaluer ses investissements dans les biens publics. Il devient crucial de donner la priorité aux initiatives visant à créer davantage d’opportunités d’emploi et à réduire le chômage.

Le chômage a également des ramifications politiques. Pendant les périodes économiques difficiles, les électeurs ont tendance à être plus insatisfaits et sont plus enclins à soutenir des changements radicaux, même si ces changements n’avaient pas recueilli leur soutien en période de conjoncture économique plus favorable. Cela montre à quel point le taux de chômage peut influencer les changements et les décisions politiques lorsque l’électorat cherche des solutions face à l’instabilité économique.

Conséquences du chômage sur les individus

Comme nous l’avons vu précédemment, un taux de chômage au Royaume-Uni durablement élevé entraîne une instabilité économique. Par conséquent, une réduction de la consommation globale y suit. Cette situation exacerbe à son tour le problème du chômage. En effet, elle rend de plus en plus difficile l’obtention d’un emploi pour les chômeurs. De plus, elle perpétue ainsi un cycle préjudiciable qui a un impact significatif sur les individus.

En outre, le chômage a d’autres effets négatifs sur les individus. Nous en citons l’augmentation des taux de criminalité, des cas de toxicomanie et des niveaux de pauvreté élevés dans le pays. Ces facteurs contribuent collectivement à une baisse du bien-être général des citoyens. De même, ils illustrent l’impact direct du chômage sur la qualité de vie de chacun.

Conséquences du chômage de longue durée

L’une des principales conséquences d’un chômage prolongé, en particulier dans le contexte du taux de chômage au Royaume-Uni, réside dans les difficultés mentales et matérielles rencontrées par les personnes sans emploi. Cela conduit souvent à une augmentation de la pauvreté et à des difficultés accrues pour répondre aux besoins les plus élémentaires tels que l’alimentation, le logement et les factures d’électricité et de gaz. D’un point de vue économique, la présence de taux de chômage élevés est synonyme d’inefficacité sur le marché du travail. Ce qui préoccupe les décideurs politiques, en particulier lorsqu’ils s’intéressent au chômage de longue durée.

Le chômage de longue durée concerne les personnes qui sont restées sans emploi pendant 27 semaines ou plus. Ces derniers ont activement cherché un emploi au cours des quatre dernières semaines. Le taux de chômage au Royaume-Uni de longue durée mesure la proportion de chômeurs de longue durée par rapport à l’ensemble des chômeurs. Un taux élevé suggère que les causes sous-jacentes du chômage sont persistantes et probablement de nature structurelle. Elles sont plutôt temporaires ou saisonnières.

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Le taux de chômage au Royaume-Uni : variations régionales du chômage

Tout au long de l’année 2020, les disparités régionales en matière d’emploi, de chômage, de travail à temps partiel, d’emploi indépendant et de salaire hebdomadaire moyen étaient évidentes au Royaume-Uni. Le Sud-Est affichait le taux d’emploi le plus élevé (78,3%) et l’Irlande du Nord le taux le plus bas (70,6%). Alors que toutes les régions ont connu une hausse du taux de chômage au Royaume-Uni entre 2019 et 2020. Ces derniers étaient généralement en hausse depuis 2011, dépassant les niveaux d’avant la récession.

D’autre part, l’impact de la pandémie de 2020, bien que notable, a été moins grave que les conséquences de la crise financière de 2008/2009. En termes de chômage, c’est dans le Nord-Est que le taux est le plus élevé (6,4%) et en Irlande du Nord qu’il est le plus bas (2,8%). Toutes les régions et tous les pays du Royaume-Uni, à l’exception du Pays de Galles, ont observé une augmentation du chômage entre 2019 et 2020. Alors qu’ils avaient généralement connu une baisse du chômage entre 2011 et 2019. Le travail indépendant est le plus répandu à Londres (16,2 %) et le moins répandu dans le Nord-Est (11,3 %). Alors que la proportion de travailleurs indépendants n’avait cessé d’augmenter depuis les années 1990, l’année 2020 a été marquée par une réduction significative de leur nombre.

Enfin, la rémunération hebdomadaire moyenne en avril 2020 était la plus élevée à Londres (£ 716). D’autre part, elle était la plus faible dans le Nord-Est (£ 524). En plus, la rémunération dans la plupart des régions reste inférieure aux niveaux d’avant la récession après ajustement pour tenir compte de l’évolution des prix, à l’exception de l’Écosse.

Le taux de chômage au Royaume-Uni : politiques et initiatives gouvernementales

Les stratégies proposées pour le taux de chômage au Royaume-Uni, élevé, englobent une approche à multiples facettes pour relever les défis économiques et budgétaires. L’accent est mis sur la viabilité budgétaire grâce à des plans d’assainissement et au relèvement de l’âge de la retraite. En fait, tout ceci en assure la pleine indépendance de l’ « Office for Budget Responsibility ». Les réformes du secteur financier impliquent le renforcement des cadres réglementaires et la mise en place d’un « pare-feu » entre les banques d’investissement et les banques commerciales. L’amélioration des programmes d’éducation, d’aide à l’emploi et de prestations d’invalidité, vise à stimuler la productivité de la main-d’œuvre. Elle sert en outre à réduire le chômage. La promotion de la croissance verte, l’efficacité du système fiscal et l’investissement dans l’innovation visent à favoriser le développement économique. L’amélioration du marché du logement passe par une planification flexible et des modifications de l’impôt foncier.

D’où, l’ensemble de ces stratégies vise à renforcer la résilience économique. Il pointe alors à stimuler l’innovation et à garantir une trajectoire budgétaire durable pour le Royaume-Uni.

Le taux de chômage au Royaume-Uni : projections pour l’avenir

Les projections concernant l’avenir du taux de chômage au Royaume-Uni dépendent d’une multitude de facteurs interconnectés et d’incertitudes. Plusieurs facteurs déterminants devraient influencer ces prévisions de manière significative.

Tout d’abord, le rythme et l’efficacité de la reprise économique du Royaume-Uni après l’impact profond de la pandémie de COVID-19 sont des facteurs essentiels. Le succès des interventions gouvernementales, telles que les mesures de relance et les campagnes de vaccination, dans la revitalisation de l’activité économique, jouera un rôle déterminant dans l’évolution des taux de chômage futurs.

Ensuite, les conséquences complexes du Brexit, en particulier la nature des relations commerciales post-Brexit, continueront d’avoir un impact sur les opportunités d’emploi dans différents secteurs. En outre, le coup disproportionné porté par la pandémie à certaines industries joue un rôle primordial. Notamment l’hôtellerie, les voyages et le commerce de détail affecteront la trajectoire du taux de chômage au Royaume-Uni au fur et à mesure que leur potentiel de redressement se précisera. L’orientation stratégique des politiques du marché du travail, qui englobe les programmes de soutien à l’emploi et les réformes, pèsera également de manière significative sur les taux de chômage futurs.

Finalement, compte tenu de l’intégration du Royaume-Uni dans l’économie mondiale, les conditions internationales et la dynamique commerciale joueront un rôle dans l’évolution des perspectives d’emploi. Les politiques des banques centrales en matière d’inflation et de taux d’intérêt ont le pouvoir d’influencer les décisions d’embauche et la création d’emplois. Par conséquent, les projections concernant le taux de chômage au Royaume-Uni dépendent de l’interaction de ces facteurs à multiples facettes. Et, la voie à suivre pour rétablir les niveaux d’emploi d’avant la pandémie doit faire l’objet d’une évaluation et d’une adaptation permanentes. Ceci à mesure que ces éléments évoluent dans les années à venir.

Caricature, chômage

Conclusion

Pour conclure, ce texte examine le taux de chômage au Royaume-Uni. Il détaille les facteurs qui l’influencent, les tendances historiques, les disparités régionales, les politiques gouvernementales et les projections futures. Historiquement, le Royaume-Uni a connu des variations du taux de chômage. Cependant, des tendances positivent jusqu’en 2008, suivent par une détérioration due à la crise financière. En 2020, toutes les régions du Royaume-Uni ont vu leur taux de chômage augmenter. En outre, les données montrent des différences significatives en fonction de l’ethnie, du sexe, de l’âge et de la région. Le texte explore également les conséquences du chômage. Particulièrement, l’incertitude économique, la réduction de la consommation, l’écart de PIB, et les répercussions sur le gouvernement et la politique. Il reflète les défis liés au chômage de longue durée et impacts sur la santé mentale et matérielle des individus.

En bref, l’article suivant évoque les politiques et initiatives gouvernementales. Ces dernières concernent à relever les défis du chômage, surtout la réforme du secteur financier, l’amélioration de l’éducation et de l’aide à l’emploi, la promotion de la croissance verte, et l’efficacité du système fiscal. Les projections pour l’avenir du taux de chômage au Royaume-Uni dépendent de facteurs complexes. Ils englobent la reprise économique post-COVID-19, les conséquences du Brexit, l’impact sectoriel de la pandémie, d’une part. Les politiques du marché du travail, les conditions mondiales et les politiques des banques centrales se présentent d’autre part. Le texte souligne que ces projections sont sujettes à des incertitudes. Outre cela, il pointe que leur évolution nécessitera une surveillance continue pour rétablir les niveaux d’emploi d’avant la pandémie.

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