Plaque d’immatriculation anglaise

Salut aventurier de la route ! Prêt pour Londres? Décodons la plaque d’immatriculation anglaise! Que tu sois sur le point d’entamer une vie à Londres en tant que stagiaire ou en colocation, Movaway t’offre un aperçu détaillé sur la plaque d’immatriculation anglaise, un élément souvent négligé, mais crucial de la vie quotidienne au Royaume-Uni.

Naviguer à travers les différentes phases de transformation de la plaque d’immatriculation anglaise au Royaume-Uni peut être un véritable casse-tête. Un défi qui intrigue pour les passionnés d’automobile et les observateurs de la vie quotidienne à Londres. Mais t’inquiètes ! Movaway est là pour décrypter tous les détails de la plaque d’immatriculation anglaise. En fin de lecture, tu seras un pro !

De l’évolution de la plaque d’immatriculation anglaise, au nouveau système, aux exceptions, tu seras capable d’identifier la plaque d’un coup d’œil. Et ce n’est pas fini ! Tu cherches à exporter ton véhicule ? à le vendre ou à vendre ta plaque ? à te démarquer avec une plaque spécialisée ? Tu es au bon endroit vu que Movaway te renseignera sur tous les détails. On abordera même les éléments de sécurité exigés par le DVLA, pour que tu puisses rouler en toute légalité.

Reste avec nous alors que nous plongeons plus profondément dans les subtilités de la plaque d’immatriculation anglaise. Que tu sois un conducteur aguerri ou un nouvel arrivant sur les routes londoniennes, comprendre ce code peut transformer tes trajets quotidiens en une expérience enrichissante. En avant !

plaque standard et personnalisé: Plaque d’immatriculation anglaise

Comment lire une plaque d’immatriculation anglaise ?

Depuis septembre 2001, les plaques d’immatriculation anglaises ont pris un nouveau tournant. Tu vas probablement croiser trois types de plaques sur les routes britanniques, alors écoute bien. D’abord, celles de l’ancien système, où le numéro commence par une seule lettre. Ensuite, les nouvelles immatriculations qui débutent par deux lettres, introduites depuis cette fameuse date. Enfin, il y a les plaques personnalisées, celles qui ajoutent une touche personnelle. Le truc, c’est que pendant un moment, tu verras circuler les deux systèmes, car le gouvernement n’a imposé le nouveau qu’aux nouvelles immatriculations. Alors, ne t’inquiète pas si ça semble un peu mélangé, on te donne le mode d’emploi des plaques d’immatriculation anglaises en un clin d’œil.

Le DVLA, c’est qui?

Curieux de savoir qui tire les ficelles derrière ta plaque d’immatriculation anglaise. Laisse-nous te présenter l’artiste en coulisses : l’Agence de Licence de Conduire et de Véhicules, ou, comme ils disent, le DVLA. Imagine ça : c’est le coffre-fort secret du gouvernement britannique qui regorge d’infos sur les conducteurs au Royaume-Uni et leurs véhicules. C’est là que tu débarques pour ton permis et toutes les infos sur la taxe routière connue sous le nom de vignette. Si tu es du côté nord de l’Irlande, leur jumeau, l’Agence de Conduite et de Véhicules (DVA), s’occupe de tes affaires de conduite.

Le DVLA, c’est un peu le gardien des routes, s’assurant que tout est bien en règle. Il se base à Swansea, au Pays de Galles, avec une tour stylée à Clase et quelques bureaux à Swansea Vale. Il s’appelait autrefois le Centre de Licence de Conduire et de Véhicules (DVLC), mais ils ont fait peau neuve. C’est grâce à eux que tu peux régler ta taxe routière en ligne ou par téléphone depuis 2004. Ils avaient des bureaux locaux super cool, mais en 2013, ils sont devenus entièrement numériques. Donc maintenant c’est 100% Swansea, tout le temps.

Et une histoire intéressante : en 1965, ils ont révolutionné tout le système d’immatriculation des véhicules. Avance rapide jusqu’en 1990, et BAM, le DVLC est devenu la DVLA, une agence exécutive sous le Département des Transports. C’est un peu les rockstars de la régulation routière, gardant tout en ordre avec une touche de style gallois.

Evolution de la plaque d’immatriculation anglaise

La première plaque d’immatriculation anglaise : un départ pas si simple

L’épopée des plaques d’immatriculation anglaises, ça vaut le détour ! Imagine, au début, c’était du style « pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? ». Non, c’était basé sur la densité de population des comtés. Londres, par exemple, se tapait la lettre A, et ça continuait, FP pour le Rutland. Un vrai casse-tête ! En 1932, la quantité de combinaisons disponibles atteint ses limites, et un nouveau système a été mis en place. Alors, ils ont ajouté une lettre devant l’indicatif de région et restreint le numéro à 999. Dans les années 1950, les régions les plus peuplées arrivent à court de combinaisons. Pour continuer à immatriculer des véhicules neufs, la décision prise était d’inverser lettres et chiffres. Bordélique, s’il en est, non?

1962 : le virage des plaques anglaises vers un format inédit

En 1962, ils ont décidé d’ajouter une lettre. On reprend le précédent, et on ajoute après la série de chiffres une lettre, représentant l’année d’immatriculation du véhicule. AHX 1A, ça te dit quelque chose ? A pour l’extension de série, HX pour le Middlesex, 1 pour la première voiture immatriculée, A pour l’année (1963).

C’est en effet, pendant cette période, que la couleur des plaques anglaises change. En effet, c’est en 1969 qu’apparaissent les plaques réfléchissantes (blanche à l’avant, jaune à l’arrière).

Années 80 : Inversion radicale de la plaque d’immatriculation anglaise

Dans les années 80, plus de combinaisons, alors ils ont tout inversé. La lettre d’année en tête, deux ou trois chiffres, et trois lettres. Ils évitaient les lettres I, O, Q, U, et Z pour ne pas embrouiller. Mais avec le nouveau système, ils ont sorti la lettre Q pour les kits, car ou les voitures volées. Comme si ce n’était pas assez tordu, ils ont changé de lettre deux fois par an à la fin des années 90.

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Le nouveau système

Attache-toi bien pour comprendre le nouveau système de la plaque d’immatriculation anglaise, c’est une sacrée histoire! Avant tout, il faut savoir que certaines normes européennes ne s’appliquaient même pas à la plaque anglaise, comme l’euroband.

Depuis septembre 2001, on est passé à un nouveau format : deux lettres, deux chiffres, trois lettres. Les deux premières lettres te donnent des infos sur la région et la ville. Les chiffres te disent l’année d’immatriculation, avec un système bien anglais qui change deux fois par an. Enfin, les trois dernières lettres, c’est le petit truc aléatoire qui fait que chaque plaque est unique.

Mais, tu vois, il y a des lettres exclues, comme le « I », le « Q », et le « Z », et l’euroband, c’est accepté, mais pas obligatoire. Le format des plaques a aussi changé, avec des caractères de taille spécifique. Les Britanniques sont stricts là-dessus, pas de dérogation, même si tu manques de place. Et pour les plaques personnalisées, c’est une autre histoire, avec des prix qui montent vite, surtout pour les numéros « cherish ».

C’est cool, non ? Mais là où ça devient encore plus cool, c’est que la taille de la plaque d’immatriculation anglaise, c’est un peu à la carte. Ça s’adapte aux véhicules, en général, devant, c’est du 520 x 111 mm, et derrière, c’est du 533 x 152 mm. Voilà, tu sais tout sur la nouvelle plaque d’immatriculation anglaise !

Les séries spéciales

Institutions

Les véhicules utilisés par le monarque britannique lors d’occasions officielles n’ont pas une plaque d’immatriculation anglaise. En revanche, ses véhicules privés doivent en porter.

Immatriculations militaires

L’Armée britannique utilise des plaques de format (99 AA 99). Autre possibilité, celle datant de 1995 de format (AA 99 AA). Les plaques sont souvent noires à caractères blancs.

Immatriculations diplomatiques

Le corps diplomatique, le corps consulaire et le personnel des ambassades ont une plaque spéciale. Elle comprend trois chiffres, une lettre puis trois chiffres (999 A 999). En effet, la lettre indique la catégorie du propriétaire : D pour les diplomates, X pour le personnel non diplomatique. Ensuite, les trois premiers chiffres indiquent le pays ou l’organisation de rattachement. Enfin, la dernière série de chiffres correspond au statut du propriétaire. De même, les ambassadeurs et les hauts-commissaires ont droit à des plaques personnalisées.

Plaque d’immatriculation anglaise temporaire

La plaque temporaire est similaire à la plaque diplomatique. La lettre Q sert d’indicatif. Les plaques pour les véhicules en vente sont blanches à caractères rouges. Elles comprennent trois chiffres, puis de une à trois lettres indiquant le lieu d’immatriculation, selon le format d’avant 2001.

Plaque d’immatriculation anglaise: pour les éco cars

Plaque d’immatriculation anglaise personnalisée

Alors, pour te la jouer vraiment perso avec ta plaque d’immatriculation anglaise, la DVLA a pensé à tout. La plaque personnalisée est autorisée au Royaume-Uni dès le 1er septembre 2001. Elle est appelée « cherished plates ». Ça te coûterait £ 250 pour un préfixe unique. La plaque d’immatriculation anglaise s’attache habituellement à vie à un véhicule. Mais, les propriétaires ont droit de les changer contre une taxe. Les plaques personnalisées peuvent porter des combinaisons anciennes ou choisies par le propriétaire, contenant par exemple ses initiales. Mais attention, les prix, eux, ils grimpent vite même aux enchères. Ainsi, une plaque 25 O a été vendue à £ 518 000 en 2014 (selon motorlegend). Ça en jette, non ?

Pourquoi UK et pas GB ?

Eh bien, depuis le Brexit du 31 janvier 2020, il y a eu un petit tour de vis sur l’identifiant territorial de la plaque d’immatriculation anglaise. Tu sais, ce qui était marqué « GB » depuis 111 ans a fait place à un tout nouveau « UK » en 2021. C’est pas juste une question de lettre, c’est tout un symbole. Avant, avec le « GB », ils représentaient juste l’Angleterre, le Pays de Galles et l’Écosse. L’Irlande du Nord, elle, n’était même pas dans le coup.

Maintenant, avec ce « UK » c’est comme s’ils voulaient montrer que tout le monde est dans la même barque. Après tout, l’Irlande du Nord fait bien partie des quatre nations constitutives du Royaume-Uni. C’est une histoire de solidarité, tout ça. Ce changement a eu lieu neuf mois après que le gouvernement ait décidé de donner un petit coup de frais au style des plaques pour célébrer le premier anniversaire du Brexit. Ils ont vraiment changé le visage des plaques d’immatriculation anglaises pour marquer le coup.

Et tu sais, avant le Brexit, il y avait ces normes européennes un peu embêtantes pour les plaques. Par exemple, cette histoire d’eurobande à gauche de la plaque reste seulement aux pays signataires de la Convention de Vienne de 1968. Et devine quoi ? Le Royaume-Uni a signé ça qu’en 2018. Alors, depuis le Brexit, l’eurobande, c’est du passé sur les plaques anglaises. Ça en dit long sur leur indépendance, non ?

Plaque d’immatriculation anglaise : acheter et vendre

Lorsqu’il s’agit d’acheter ou de vendre une plaque d’immatriculation anglaise, le processus suit une série d’étapes claires pour garantir la légalité. Tout d’abord, le vendeur doit entreprendre le retrait de la plaque, souvent accompagné d’un certificat de transfert de propriété. Ce certificat atteste du passage de la responsabilité de la plaque d’une personne à une autre.

Une fois la plaque retirée, l’acheteur peut alors acquérir la plaque directement auprès du vendeur. Pour officialiser cette transaction, il faut remplir un document de cession. Il sert à documenter les détails du transfert légal de la plaque. Ce document sert à établir la trace écrite du changement de propriétaire et pour éviter tout malentendu administratif.

Il est important de noter que les autorités locales peuvent exiger une notification officielle du changement de propriétaire. Cela vise à garantir la transparence et à éviter toute ambiguïté dans les enregistrements administratifs.

Enfin, un aspect crucial de ce processus est que tu puisses vérifier que la plaque est en conformité avec les normes. Cela assure une circulation en toute légalité sur les routes britanniques. Les plaques doivent respecter des critères spécifiques en termes de taille, de police, de couleur, et autres définies par le DVLA. Ne pas respecter ces normes pourrait entraîner des sanctions. Ces normes strictes soulignent ainsi l’importance de la conformité pour tous les utilisateurs d’une plaque. En suivant ces étapes de manière rigoureuse, les acheteurs et les vendeurs peuvent s’assurer que leurs transactions sont légales.

Plaques d’exposition spéciales

L’achat d’une plaque d’immatriculation anglaise est soumis à des règles strictes pour prévenir les crimes tels que le clonage de véhicules. Les fabricants agréés exigent la présentation des documents de propriété avant de fournir des plaques standard. Toutefois, les amateurs de voitures et les membres de clubs ont la possibilité d’acquérir des « plaques d’exposition ». Cela leur permet de mettre en valeur leurs véhicules lors d’événements hors route. Ces plaques, disponibles dans divers formats, peuvent être obtenues facilement auprès de fournisseurs en ligne spécialisés. Ainsi, si tu es un passionné, tu pourras ajouter une touche personnalisée à ton véhicule en toute légalité.

Documents obligatoires pour obtenir une plaque d’immatriculation anglaise

Alors, si tu veux immatriculer ta voiture anglaise au Royaume-Uni, tu vas avoir besoin d’une petite paperasse, comme d’habitude. Avec le Brexit, certains trucs ont un peu changé, mais faut pas paniquer, voici ce dont tu auras besoin :

D’abord, le V5C, c’est le certificat de la plaque d’immatriculation anglaise. Tu devras remplir les parties « New keeper » et « Permanent Export » et filer ça à l’ancien proprio. Ensuite, la demande de certificat d’immatriculation, c’est un formulaire qu’il te faudra.

Bien sûr, faut prouver que tu as acheté la bagnole. Alors, une facture d’achat à ton nom ou un Car Bill of Sale, ça fera l’affaire. Et si tu passes par un pro, un mandat d’immatriculation (Cerfa 13757*03) sera de rigueur.

Question justificatifs, tu devras montrer un document prouvant ton domicile datant de moins de 6 mois. Et, bien sûr, ton permis de conduire en cours de validité.

Depuis le 1er janvier 2021, avec le Brexit officiel, il y a du nouveau à ajouter à la liste. En fonction de la date de première mise en circulation, il te faudra un Certificat de conformité CE (COC) ou une Réception à titre isolé (RTI). Un certificat de dédouanement 846 A et un contrôle technique français de moins de 6 mois seront aussi de la partie. Voilà, avec tout ça, tu pourras arborer fièrement ta nouvelle plaque d’immatriculation anglaise !

Your Reg

Le savais-tu ?

Bien sûr, voici des détails supplémentaires sur ce que tu dois savoir. Si tu envisages de rouler en France avec une plaque d’immatriculation anglaise, la première chose à noter est que l’article 11 de l’arrêté du 1er juillet 1996 t’autorise à le faire. Cependant, cette autorisation porte une condition importante : tu dois résider à l’étranger. Cela signifie que tu devrais habiter au Royaume-Uni pour pouvoir utiliser une plaque d’immatriculation anglaise en France.

Il est crucial de comprendre que cette règle s’applique même si tu possèdes une résidence secondaire en Angleterre. Si tu es un permanent en France, tu ne peux pas rouler avec une plaque d’immatriculation anglaise en France.

De plus, après l’achat ou l’importation d’un véhicule du Royaume-Uni, tu as un délai d’un mois pour l’immatriculer en France. La plaque d’immatriculation anglaise n’est pas autorisée pour les résidents français.

En ce qui concerne le numéro de plaque, en cas de déménagement dans une autre région en France, tu peux conserver le même numéro. Cependant, il n’est pas possible de transférer un ancien numéro sur un véhicule immatriculé avec le nouveau système. Celui-ci se réserve exclusivement aux nouvelles immatriculations.

Enfin, il est prévu qu’après 2049, le numéro de plaque sera inversé pour recommencer un cycle de 50 ans. Cependant, il reste à voir si d’ici là, une harmonisation européenne pourrait également influencer les règles d’immatriculation.

Plaque d’immatriculation anglaise verte, un plan éco

Eh bien, si tu as un faible pour les bagnoles propres, tu seras ravi de savoir que le Royaume-Uni a prévu la fin des ventes de voitures thermiques d’ici 2030. Cela rentre dans sa quête de la zéro émission de CO2. Et pour encourager tout le monde à passer à l’électrique, ils ont sorti une nouvelle plaque, toute verte.

Cette plaque verte, réservée aux véhicules électriques et à hydrogène, offre un tas d’avantages sympas. Imagine-toi avec la gratuité du stationnement, le droit de squatter les voies de bus et l’exonération des péages interurbains. De plus, tu auras la liberté de circuler sans restriction dans les zones à faibles émissions. Mais attention, les avantages peuvent varier selon les décisions locales.

Le but de cette plaque verte, c’est de permettre une identification rapide des voitures propres. D’un coup d’œil, tout le monde sait que tu fais partie des écolos branchés. Pour l’instant, la couleur verte définitive de la plaque n’est pas encore décidée. Alors elle pourrait être toute verte, avoir une pastille verte, ou un bandeau vert. À toi de choisir comment tu veux faire tourner les têtes sur la route !

Éléments de sécurité et de conformité de la plaque d’immatriculation anglaise

Ta plaque n’est pas simplement là pour faire joli sur ton véhicule. Elle est armée de caractéristiques de sécurité sérieuses pour te protéger contre les malins. Ces caractéristiques, comme des hologrammes et des marquages à chaud, sont comme les gardiens de ta plaque. Essaie donc de reproduire ça !

Mais attention, il y a des règles à suivre. La plaque d’immatriculation anglaise est strictement réglementée par le Driver and Vehicle Licensing Agency (DVLA). Taille, police, couleur – tout est sous le radar de ces régulateurs. Ne pas respecter les règles pourrait te valoir des sanctions. On ne plaisante pas avec la conformité ici.

Et crois-moi, la sécurité de ta plaque n’est pas qu’une formalité. Les forces de l’ordre utilisent ces petits numéros et lettres pour repérer les véhicules volés et pister des suspects. Ta plaque, c’est comme la superhéroïne anonyme de la route.

Maintenant, avec toute cette technologie qui évolue, la plaque d’immatriculation anglaise ne fait pas que décorer. Les caméras de reconnaissance de la plaque, c’est la nouvelle donne. Elles peuvent scanner et enregistrer automatiquement les plaques des véhicules, facilitant la vie en surveillant les mouvements, en gérant le trafic. Ainsi, elles assurent que tout le monde respecte les règles.

C’est fou de voir comment une plaque d’immatriculation anglaise passe d’une simple étiquette à un gardien de la route. Elle assure la sécurité et joue un rôle majeur dans la prévention des tracas criminels.

Quelle est la plaque d’immatriculation anglaise 4D et sont-elles légales ?

Posséder une plaque valide est une exigence fondamentale pour circuler légalement sur les routes britanniques. Certains automobilistes, soucieux de personnaliser cet aspect souvent banal de la conduite, optent pour une plaque dite « 4D ». Cette plaque, de plus en plus populaire, se distingue par des caractères en relief qui ressortent du fond. Cependant, malgré son attrait, des incidents récents ont mis en évidence des préoccupations quant à la légalité de ces plaques. Bien que la DVLA mentionne la possibilité d’avoir des « caractères 3D », la réalité est plus nuancée. Les caractères en relief ne doivent pas entraver la lisibilité de l’immatriculation. De plus, le mode de fixation des caractères, souvent par adhésif, peut rendre la plaque non conforme au fil du temps. Ce qui la rend partiellement illisible et donc illégale.

Plaque d’immatriculation anglaise

Plaque d’immatriculation anglaise interdite

La DVLA a récemment divulgué une nouvelle liste de 73 combinaisons de plaques jugées inappropriées. Des combinaisons telles que BO73 LOX, HA73 GAY, LE73 ZZA, SH73 TER et WH73 PWR sont interdites. Une enquête d’accès à l’information a mis en lumière la liste complète, publiée en septembre, incluant des réservations potentiellement controversées. Par exemple, AN73 peut être interprété comme « ANTI » ou « ANY », EA73 associé à « EATS », et HA73 compris comme « HATES ».

En scrutant ces listes, certaines combinaisons nécessitent une réflexion pour comprendre leur potentiel d’infraction. Tandis que d’autres, comme AS73 HOL, BU73 SHT et EA73 DCK, sont des exemples évidents retirés par le DVLA. Ces mesures montrent l’engagement continu des autorités à éviter toute utilisation inappropriée de la plaque d’immatriculation anglaise.

Conclusion

Pour conclure, la plaque d’immatriculation anglaise a connu une évolution fascinante. Elles ont connu différentes transformations d’un système basé sur la densité de population à un format plus moderne depuis septembre 2001. Les nouvelles plaques offrent des informations sur la région, l’année d’immatriculation et ajoutent une touche aléatoire unique. Le Brexit a également entraîné le remplacement du « GB » par « UK » sur les plaques en 2021.

Diverses catégories spéciales, comme les plaques vertes pour les véhicules électriques, les plaques diplomatiques, militaires et temporaires, ajoutent des nuances au paysage des plaques d’immatriculation. L’achat et la vente de plaques suivent des processus stricts, tandis que la sécurité et la conformité sont surveillées par le DVLA.

Malgré la popularité de la plaque d’immatriculation anglaise personnalisée, la DVLA met en garde contre des combinaisons inappropriées. Chaque plaque a une histoire riche, mêlant tradition, évolution technologique et réglementation stricte. En comprenant ces codes, chaque conducteur peut rendre ses trajets sur les routes britanniques plus enrichissants. En avant vers de nouvelles aventures sur les routes du Royaume-Uni !

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